Quand. À petits riens. À petits pas. Dans les chevêtres entortillés de soi. Les fils de trame entremêlés. L’âme sombre vers la noire lumière, engloutie et défaite.
Quand. De ta divinité. Il ne reste plus rien que l’épluchure discrète et évidée. L’onde des larmes, la douleur qui entache, des milliers de rivages, à nettoyer.
Quand. Les vagues viennent lécher et laver tes ailes engluées.
Quand mon ange, tu t’agenouilles et renais...
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