Dans les veines du temps
Coule ce laiteux du couchant
Qui baigne les montagnes
Dans mon cœur, nostalgie...
Passent les chants et les lais
Dérivent les prodiges
De leur ample manège
Mon cœur s’est saisi
Ainsi va la vacance...
Creusé à même la chair
Le puits respire tel un gouffre
De sombres univers
Où gisant solitaire
Mon cœur dans le silence
Écoute
Ainsi va la vie...
Rien ne saura de ma douleur, ma mie
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