Ton parfum flotte et s’enroule
Volupté que je bois
À grandes lampées
Inouï fut ton geste
Par lequel tu m’as fait don
Des longs silences,
Plaines arasées sous le soleil
Infiniment...
Et gorgées, à craquer
D’un érotisme qui m’agenouille.
Ton parfum sur ma peau
Et mon cœur apaisé
Même après ton départ...
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